La posture low-tech : négocier les fonctions, la complexité et les impacts de la technique
Réalisé à partir de « Un ingénieur low-tech est-il possible ? » ( Choplin, 2022[1]).
Définition : Low-tech
Négocier la complexité : viser l'appropriabilité à l’échelle locale (objectif)
Négocier les impacts : viser la sobriété en ressources et en énergie (objectif)
Négocier les fonctions : viser une réforme des modes de vie (moyen)
« Les Low-Techs ont comme caractéristique d’être appropriables à l’échelle locale et individuelle, d’être sobres en ressources et en énergie, pensées en lien avec les contextes et usages sociaux, accompagnant une réforme plus large des modes de vie. »
Terminologies alternatives : Basse-technologie, Technologies modestes
Exigences de la posture low-tech
Penser le couplage homme-technique.
Accepter la pensée complexe.
Complément : C'est quoi une low-tech ?
Utile : répond à des besoins essentiels à l’individu ou au collectif.
Accessible : doit être appropriable par le plus grand nombre.
Durable : éco-conçue, résiliente, robuste, réparable, recyclable, agile, fonctionnelle.
Low-tech Lab, https://lowtechlab.org/fr/la-low-tech
Complément : Les « sept commandements » des low-tech
Remettre en cause les besoins
Concevoir et produire réellement durable
Orienter le savoir vers l’économie de ressources
Rechercher l’équilibre entre performance et convivialité
Relocaliser sans perdre les (bons) effets d’échelle
« Démachiniser » les services
Savoir rester modeste