Critiques du concept de commun
Exemple : Tragédie des communs non gérés
Garrett Hardin ( Hardin, 1968[1]) décrit des mécanismes de surexploitation selon lui inhérents aux ressources en libre accès (à partir de l'exemple hypothétique, contesté historiquement, du sur-pâturage).
Elinor Ostrom ( Weinstein, 2013[2]) critique Garett Hardin, en soulignant la confusion entre libre accès et propriété commune et défend la gestion en commun par les acteurs locaux qui exploitent la ressource.
Exemple : Privatisation des communs et critique des licences libre « libérales »
Les logiciels libres sous licence libre sans contrepartie (MIT, BSD...) ont été rappropriés et in fine privatisés par les GAFAM :
sous la forme de services avec une stratégie de centralisation ;
ou d'évolution non libre du logiciel.
Exemple : La loi du plus fort
La critique de la propriété intellectuelle ou la mise en accès libre peut être une stratégie d'oppression ou de prise de pouvoir ( Maurel, 2015[3]) :
Google Books
Open IA
...
Exemple :
On a récemment découvert que 80 % des câbles internet qui partent d’Europe appartiennent à des géants numériques américains, illustre-t-il, probablement parce qu’on n’avait pas pensé à faire de loi sur le sujet. C’était une erreur.