Gouverner les communs positifs et négatifs
Communs positifs : organiser les usages
Communs négatifs : organiser les non-usages et la fermeture ( Bonnet, Landivar, Monnin, 2021[1])
Exemple : La tout-doux-cratie de Picasoft
Tout système de gouvernance s’ancre sur des partis pris adaptés au contexte dans lequel il se déploie. Pour Picasoft, on l’a vu, il y a un véritable enjeu à faciliter l’action des personnes motivées sans écraser les autres ; c’est pourquoi le nom dénote la fluidité (to-do) et le soin (tout-doux). L’intention du système de règles lui-même est d’être suffisamment simple pour être intégré rapidement (fluidité) mais suffisamment robuste pour être mis à l’épreuve dans les cas difficiles (soin). (Chosto, 2022a)
CHOSTO, 2022a. De la bureau-cratie à la tout-doux-cratie : refonder la gouvernance associative. Framablog. 2022. https://framablog.org/2022/09/05/de-la-bureau-cratie-a-la-tout-doux-cratie-refonder-la-gouvernance-associative/
CHOSTO, 2022b. Deux ans en tout-doux-cratie : bilan et perspectives. Framablog. 2022. https://framablog.org/2022/10/24/deux-ans-en-tout-doux-cratie-bilan-et-perspectives/